Contient :
<p><strong>Un num&eacute;ro de t&eacute;l&eacute;phone, un exemplaire de <em>La Peau de chagrin</em> et un briquet de la L&eacute;gion &eacute;trang&egrave;re. C'est tout ce qui est retrouv&eacute; sur le cadavre d'un homme abandonn&eacute; dans un bassin du jardin des Tuileries. Alors qu'il pi&eacute;tine d&eacute;j&agrave; dans une enqu&ecirc;te sur la disparition de trois jeunes femmes, le commandant Julien Delestran est charg&eacute; de l'affaire. Le num&eacute;ro de t&eacute;l&eacute;phone est sa premi&egrave;re piste : c'est celui du CNAOP, l'organisme permettant aux enfants n&eacute;s "sous X" de retrouver leurs parents biologiques. </strong><br /><strong>Mais tandis que le commandant essaie d'avancer sur cette nouvelle enqu&ecirc;te, la pr&eacute;c&eacute;dente se rappelle &agrave; lui quand sa hi&eacute;rarchie lui adjoint l'aide d'une psychologue. Tout d'abord sceptique face &agrave; cette "ing&eacute;rence" , Delestran est bien oblig&eacute; de reconna&icirc;tre que Claire Ribot sait mettre au jour la v&eacute;rit&eacute; aussi bien que le plus fin des limiers. Et qu'elle ne sera pas de trop pour sonder, avec son groupe, les tr&eacute;fonds de l'&acirc;me humaine...</strong></p>,

Notes : Chimiste de formation, Jean-François Pasques est capitaine de police. Après une quinzaine d'années à Paris, notamment à la Section Criminelle de la 1ère DPJ, il travaille désormais à Nantes en Sécurité Publique. La police satisfait son appétit de curiosité humaine, et Fils de personne met en scène ces personnages hauts en couleurs auxquels il est confronté quotidiennement dans son métier.