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Réservation
couverture de : Les rides du sol, carnets de bord de la guerre 1914-1918
Contient :
Ernest Chaussis a été soigné à l'Hôpital militaire de Villeblevin en 1915. Témoignages et croquis de p.73 à p.124.,
<p><span style="color: #333333;"><strong><span style="display: block; text-align: left;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 7pt;">Encore un journal de poilu ! C'est celui d'Ernest Chaussis, rest&eacute; enfoui dans les archives de la famille jusqu'&agrave; la mort de son fils, en 2000, et retrouv&eacute; alors par sa petite-fille. Apporte-t-il quelque chose de nouveau ? Non, sans doute, sauf peut-&ecirc;tre un autre regard, encore, sur la vie du fantassin de base de la guerre 1914-1918, au hasard de ses p&eacute;r&eacute;grinations, de Normandie en Argonne, de la Marne en Picardie, en passant par Verdun, et en terminant en Alsace ; sur la vie au d&eacute;p&ocirc;t, en campagne, plus ou moins pr&egrave;s des lignes, et m&ecirc;me &agrave; l'h&ocirc;pital ; sur les contacts avec les gens ou populations rencontr&eacute;es... Un regard d'inspecteur primaire, qui aime observer, r&eacute;fl&eacute;chir, tirer des le&ccedil;ons pour l'avenir, noter, &eacute;crire, bien &eacute;crire, dessiner m&ecirc;me, composer de la musique, pour lui et ses camarades, peut-&ecirc;tre, pour ses enfants et petits-enfants, et pour les jeunes g&eacute;n&eacute;rations &agrave; venir, tr&egrave;s certainement. Presque cent ans apr&egrave;s, ces r&eacute;cits m&eacute;ritent encore d'&ecirc;tre connus et lus par un large public, aux c&ocirc;t&eacute;s d'autres qui, eux aussi, n'apparaissent qu'en ce d&eacute;but d'un autre si&egrave;cloe.</span></span></strong></span></p>,

Notes : Index
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