Ce que le jour doit à la nuit |
Auteurs | Khadra, Yasmina (070) |
Edition | Julliard : Paris , 2009 |
Collation | 413 p. |
Format | 23 cm |
ISBN | 978-2-260-01758-5 |
Langue d'édition | français |
Sujets | Algérie 1930-1962 roman sentimental Colonisation Indépendance littérature Algérienne roman historique |
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Résumé : Dans l'Algérie coloniale, le jeune Younes est confié à son oncle, pharmacien, afin d'échapper à la misère que connaît sa famille. Il grandit au milieu de jeunes Blancs, oubliant presque ses origines arabes. Ses amis européens et lui forment une bande d'inséparables. Mais, un jour, une Française beaucoup plus âgée que lui posera un geste aux conséquences imprévisibles...
Notes : « Mon oncle me disait : Si une femme t'aimait, et si tu avais la présence d'esprit de mesurer l'étendue de ce privilège, aucune divinité ne t'arriverait à la cheville. Oran retenait son souffle en ce printemps 1962. La guerre engageait ses dernières folies. Je cherchais Émilie. J'avais peur pour elle. J'avais besoin d'elle. Je l'aimais et je revenais le lui prouver. Je me sentais en mesure de braver les ouragans, les tonnerres, l'ensemble des anathèmes et les misères du monde entier.» Yasmina Khadra nous offre ici un grand roman de l'Algérie coloniale (entre 1936 et 1962) - une Algérie torrentielle, passionnée et douloureuse - et éclaire d'un nouveau jour, dans une langue splendide et avec la générosité qu'on lui connaît, la dislocation atroce de deux communautés amoureuses d'un même pays.
Notes : « Mon oncle me disait : Si une femme t'aimait, et si tu avais la présence d'esprit de mesurer l'étendue de ce privilège, aucune divinité ne t'arriverait à la cheville. Oran retenait son souffle en ce printemps 1962. La guerre engageait ses dernières folies. Je cherchais Émilie. J'avais peur pour elle. J'avais besoin d'elle. Je l'aimais et je revenais le lui prouver. Je me sentais en mesure de braver les ouragans, les tonnerres, l'ensemble des anathèmes et les misères du monde entier.» Yasmina Khadra nous offre ici un grand roman de l'Algérie coloniale (entre 1936 et 1962) - une Algérie torrentielle, passionnée et douloureuse - et éclaire d'un nouveau jour, dans une langue splendide et avec la générosité qu'on lui connaît, la dislocation atroce de deux communautés amoureuses d'un même pays.
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